Aucours des décennies, le Dalaï-lama s’est prononcé de multiples fois sur la compassion envers les animaux, contre la chasse et pour le végétarisme. En 1967, à un congrès mondial végétarien, il déclarait : « Je ne vois pas du tout de raison pour laquelle les animaux devraient être massacrés pour servir un régime humain quand il y a tant de substituts.
L'estomac chez un européen fait 25cm en moyenne, chez un africain, il peut aller jusqu'à 40cm. Idem pour le duodénum. L'intestin grêle entre 4 et 9,5m. Et ainsi de suite pour le colon.) En fait il serait mieux de compter par rapport à la longueur du corps. Chez les carnivores: 3x la longueur du corps. Chez les omnivores: 10x la longueur
Organiséeshier et aujourd'hui, les Journées mondiales végétariennes représentent l'occasion de découvrir ou de faire découvrir le végétarisme. « Manger bio et manger végétarien sont
Ilsla protègent tellement qu'ils chassent en plein champs cultivés, en quadrillant le terrain pour tout ratisser et exterminer les pauvres biches et lapins qui ont essayé de se cacher dans le dernier bosquet qui n'a pas été rasé par les agriculteurs (qui sont les chasseurs aussi évidemment). Et le lendemain, ils reprennent leur arrosage au glyphosate par avion. Vive la nature.
Elleécrit alors contre le mariage, pour l’amour libre et le droit des femmes et entre en contact avec les milieux abolitionnistes et fouriéristes assez influents aux États-Unis au milieu du siècle. Ce qu’il se passe aux États-Unis est étroitement lié aux pratiques britanniques qui avaient traversé l’Atlantique . Les origines du végétarisme occidental moderne ont souvent été
Alorsque des campagnes de dénigrement du végétarisme, relayées par le lobby agroalimentaire assimilent souvent dans nos sociétés occidentales, le végétarisme à un comportement sectaire, la lutte contre le réchauffement climatique fournit de nouveaux arguments pour réduire la consommation de viande. Plus de 20% des émissions mondiales de méthane (gaz à effet de
Pourrevenir sur la musculature et le régime végétarien , je n’aurai rien d’autre à ajouter que l’observation d’un gorille , d’un éléphant ,ou la célérité d’une gazelle; La victime herbivore gagne 9 fois sur dix contre le carnivore. 10 Combats ; 9 victoires ,
22sept. 2016 - Lorsque l’on décide de ne plus manger d’animaux et que l’on en parle autour de soi, des mauvais arguments contre le végétarisme, on en entend beaucoup. Tout le monde ne sait pas y répondre ; parce que parfois on devient d’abord viscéralement végétarien avant de s’intéresser à, disons, la théorie. Parfois, c’est l’inver
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Levégétarisme est un mode alimentaire qui exclut toute consommation d'animaux, donc viande, volailles et poissons. Végétarien : le top 10 des aliments pour remplacer la viande. Découvrez notre top 10 des aliments à privilégier quand on tourne veggie. Pourquoi privilégier les
Wfw6QPK. Le Parlement vient d’adopter la loi sur le délit d’entrave à l’interruption volontaire de grossesse IVG. Le projet, porté par la ministre de la famille, de l’enfance et du droit des femmes, Laurence Rossignol, vise à interdire les sites qui désinformeraient » les femmes quant à l’avortement, notamment en y exposant d’éventuels risques psychiques. Cette mesure a fait couler beaucoup d’encre et ravive le débat de la légalisation de l’avortement. Pourquoi être pour ou contre l’avortement n’a aucun sens ? Pour ou contre ? Pro-choix ou pro-vie ? On a souvent tendance à réduire la question de l’avortement à cette opposition. Et pourtant, ça n’a aucun sens. Cela sous-entend si l’on est pro-vie que l’on est contre le libre choix des individus. Et donc liberticide. Mais est-ce qu’on peut dire que l’avortement est une liberté ? De même, si l’on est pro-choix, on serait pro-mort. Je doute que nombreux soient ceux se plaçant en faveur de la mort. Ce n’est pas la question du pour ou contre qui importe dans ce débat. Rendre illégal l’avortement serait nier des réalités dramatiques et mettrait en danger de nombreuses femmes. Avant la légalisation de l’IVG, certaines femmes avortaient clandestinement, dans des conditions d’hygiène précaires et donc dangereuses pour leur vie. La légalisation de l’IVG est essentielle. Mais approuver sa légalisation ne signifie pas non plus en approuver le principe. Mettre fin à sa grossesse est un euphémisme quand on parle de l’avortement on retire le fœtus niché dans l’utérus de la femme. Et si l’on considère bien ce fœtus comme un bébé et donc un être humain, avorter, c’est aussi donner la mort. Aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement » 26 novembre 1974. Ouverture du débat à l’Assemblée Nationale sur le projet de légalisation de l’IVG. Simone Veil, ministre de la Santé, y fait un discours maintenant devenu célèbre Je le dis avec toute ma conviction, l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. … Aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. C’est un drame, et cela restera toujours un drame. ». Les féministes héritières de mai 1968 semblent avoir oublié le caractère d’exception que doit revêtir l’IVG, pourtant souligné par Simone Veil. Elles ont fait de l’avortement un droit voire un droit fondamental le droit pour les femmes de disposer librement de leur corps. Mais peut-on réellement parler d’un droit ne serait-ce qu’au sens juridique ? Établir l’IVG comme un droit fondamental, n’est-ce pas banaliser un acte ne pouvant pourtant pas être réduit à un simple acte médical ? J’entends déjà certains exposer les études scientifiques prouvant qu’il n’existe aucun syndrome traumatique durable pour les femmes ayant avorté. Mais il faut être prudent. Les études relèvent du général il n’y a aucun syndrome en général, mais derrière la science se cachent des femmes aux réalités diverses. Israël Nissand, gynécologue obstétricien et en faveur de la légalisation de l’IVG, apporte cette nuance dans une interview donnée au Figaro C’est un phénomène sur lequel on manque d’études scientifiques mais, sur le terrain, en consultation, on voit bien que cela existe … Le négationnisme des troubles qui peuvent survenir à la suite d’une IVG ne sert pas la cause des femmes. Mon corps, mon choix, ma liberté ? On le sait, c’est souvent les femmes qui font les frais des diktats imposés par une société qui cherche en permanence à contrôler leur corps. La société traditionaliste du début du XXème siècle, en criminalisant l’avortement, condamne la femme à accepter une réalité qu’elle subit parfois. La société de la fin des années 1960, empreinte d’une libéralisation sexuelle nouvelle, renverse la norme et crée une nouvelle contrainte sociale que la femme se doit d’accepter au nom de la libération de son genre rendre l’IVG normale, banale. Dans les deux cas, la société porte un jugement sur la femme. Dans les deux cas, on la rend coupable. Coupable d’avorter, ou coupable de garder un enfant. Ces deux sociétés coexistent encore aujourd’hui. Nous avons tous tendance à juger les femmes qui avortent et celles qui continuent leur grossesse surtout celles adolescentes ou étudiantes, pour qui ce n’est pas le moment » d’avoir un enfant. Et en les jugeant, on ne les aide pas. On les dessert même, les contraignant parfois à choisir ce que leur environnement social a choisi pour elles. On prive les femmes de leur liberté et de leur libre-arbitre. Et on les prive du soutien dont elles auraient besoin. Quelques dates et chiffres sur l’avortement en France 31 juillet 1920 Loi criminalisant et pénalisant le recours à l’avortement. 17 janvier 1975 La loi autorisant l’avortement est promulguée après deux mois de débats au Parlement. 2014 La notion de détresse » présente dans la loi Veil est supprimée, rapprochant l’IVG d’un droit, sans condition à son accès. 2016 Extension du délit d’entrave à l’IVG, puni de 30 000 € d’amende et de deux ans de prison. 203 463 C’est le nombre d’IVG déclarés en 2015. Depuis sa légalisation, le nombre d’avortement reste relativement stable, autour de 200 000 chaque année, même si moins de femmes y ont recours. Un peu plus d’une femme sur deux a déjà eu recours à l’avortement au cours de sa vie en 2013 nombre moyen d’IVG par femme en 2013. image de couverture Photo by Keystone-France/Gamma-Keystone via Getty Images
M le mag Chroniques La mesure, élaborée par la convention citoyenne pour le climat, sera expérimentée pendant deux ans. Mais est-elle vraiment du meilleur goût ? Publié le 25 janvier 2021 à 07h00 - Mis à jour le 10 mars 2021 à 11h12 Temps de Lecture 2 min. L’argument économique La convention citoyenne pour le climat CCC a affirmé l’objectif d’engager la restauration collective dans des pratiques plus vertueuses. L’une de ses propositions instaure l’obligation pour les cantines scolaires en self-service d’introduire un menu végétarien quotidien. Cela permettrait, entre autres, de réduire les coûts de 10 %, car les produits carnés sont les plus chers. Une économie qui pourrait être réintroduite dans l’achat de denrées en circuit court. La CCC a voté à 93 % en faveur de cette mesure. Lire aussi Les principales propositions de la convention pour le climat passées au crible L’argument écologique Si les enfants ont le choix, ils iront vers des menus dont ils ne laisseront pas la moitié. De plus, près d’un an après l’entrée en vigueur de la loi Egalim, qui oblige la restauration scolaire à servir un repas végétarien par semaine, Greenpeace a publié, en septembre, une étude qui atteste les bénéfices d’une telle mesure une baisse de 14 à 19 % des gaz à effet de serre, de 8 à 11 % de la consommation d’eau liée à l’agriculture, de 22 à 27 % des importations d’aliments pour animaux d’élevage et donc une réduction du risque de déforestation. L’argument nutritionnel Dès 2015, l’OMS classait la viande rouge et transformée comme cancérogène pour l’homme. Depuis, il est avéré qu’une alimentation plus végétale réduit le risque de cancer mais aussi de maladies cardio-vasculaires et de diabète. Par ailleurs, une étude réalisée par le ministère de l’agriculture en 2013 démontre une inversion des tendances les classes les moins aisées consomment moins de fruits et légumes que les classes sociales supérieures. La cantine scolaire pourrait donc pallier ce manque. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Manger mieux à la cantine, c’est possible et pas forcément plus cher » Le contre-argument économique Le 8 janvier, le ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Julien Denormandie, a refusé l’obligation d’un menu végétarien quoditien mais a soutenu une expérimentation sur deux ans. L’évaluation portera notamment sur le coût des repas, puisque, selon le cabinet du ministre, il n’est pas à exclure qu’une telle alternative soit susceptible d’engendrer un surcoût pour la restauration collective ». Car, selon Restau’co, le réseau interprofessionnel du secteur, les plats industriels végétariens servis faute de mieux coûtent plus cher qu’une viande bio. Le contre-argument écologique Un milliard de repas sont servis chaque année par les cantines scolaires. Selon une étude de l’Ademe datée d’octobre 2020 sur la lutte contre le gaspillage, 110 g de nourriture sont jetés à chaque repas, soit 110 000 tonnes par an, dont environ 30 % des accompagnements et 20 % des entrées le plus souvent des légumes. L’une des craintes liée à l’obligation d’une proposition d’un menu végétarien quotidien est de voir les chiffres du gaspillage multipliés par deux ou par quatre. Car plus il y a de plats proposés, plus il y a de gabegie. Le contre-argument nutritionnel Un menu végétarien par jour mettrait en péril l’équilibre nutritionnel, selon le ministère de l’agriculture, qui s’appuie sur une étude de l’ANSES de 2019 indiquant que 25 % des filles de 13 à 17 ans ont des carences en fer liées au manque de viande, poisson ou œuf. Cette information, couplée à l’idée que le déjeuner de la cantine serait le seul repas équilibré pris par les enfants issus des milieux populaires, enjoint à la prudence. Si l’on veut égaler la qualité nutritionnelle d’un repas carné avec un repas végétarien, un effort colossal est nécessaire. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Sans cantine scolaire, la fracture alimentaire s’étend à de nouveaux parents » Marie Aline Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
La peine de mort, souvent appelé peine capitale, fait partie de l’un des sujets qui est à ce jour encore au cœur des débats. En effet, certains sont tout à fait contre pour des raisons éthiques, sociétale et morale ; tandis que d’autres demande le retour de cette peine. La peine de mort est abolit en France depuis le 26 août 1981. A ce jour, 56 pays dans le monde appliquent encore cette sanction au nom de la justice. Parmi eux, on dénombre certains états des États-Unis, la Chine, l’Arabie Saoudite ou encore la peine de mort, sujet au cœur des débats Aujourd’hui, nous allons vous donner 10 raisons d’être contre la peine de mort. Un châtiment cruel Au fil des siècles, la peine de mort a mis en place des châtiments corporels qui relèvent de l’inhumain. En effet, on peut citer ici l’écartèlement, le crucifiement, la lapidation ou encore l’empalement. De nos jours, les moyens les plus utilisés sont la lapidation, l’injection létale, la chaise électrique, la pendaison ou encore la fusillade. Néanmoins, ces châtiments n’en restent pas moins cruel aux yeux de certains qui pensent d’un point de vue éthique. En effet, chacun a un droit inhérent sur sa condition et sa vie humaine. Une sanction antidémocratique Il est important de soulever le questionnement de la sanction dans la vie en société, et c’est d’ailleurs le rôle de la justice. Toute démocratie se doit d’instaurer une justice fiable et équitable pour chacun de ses concitoyens. Par ailleurs, il est important de constater que la majorité des pays qui appliquent encore la peine capitale sont des pays avec des gouvernements dits oppressifs. Par exemple, on peut citer des pays tels que la Chine qui est le premier pays au monde en termes de nombre de condamnation à mort. Mais, on peut également citer l’Iran, la Syrie, le Yémen ou encore la Corée du droit à la vie Le droit à la vie de chaque être humain est un droit indiscutable qu’il a été donné à chacun. Nombreux sont ceux qui mettent cet argument en avant pour justifier leur position contre la peine de mort. En effet, qui peut se prôner détenteur du destin de la vie d’un être humain ? À mon sens, personne n’a le droit d’ôter une vie humaine, même s’il s’agit de la vie d’un criminel. La contradiction avec le principe de la justice Le rôle de la justice au sein de la société est d’être l’arbitre neutre et impartial des comportements des citoyens. En effet, son rôle est de sanctionner des actes interdits par la loi et a le devoir de protéger les personnes vulnérables. Néanmoins, le principe de la peine de mort va à l’encontre de ce principe puisque c’est un moyen simple de se venger. La peine de mort fait aussi référence aux yeux de certains à la loi de Talion, Œil pour œil, dent pour dent , qui est en totale contradiction avec le principe de sanction de la justice ; et qui prône la vengeance. Les raisons morales et éthiques Est-ce moral de punir un crime par un autre crime ? D’infliger des châtiments corporels humiliants, dégradants et cruels ? D’ôter la vie humaine ? Voilà les questions les plus courantes qui reviennent au cœur des débats. La peine de mort est une sanction qui ne relève pas de la morale, de l’éthique et des principes de fondement de la société. La peine capitale est une violation des droits humains et du droit à la vie. L’encouragement de l’abolition au niveau internationale Le droit international encourage l’abolition de la peine de mort, pour toutes les raisons citées précédemment, au niveau mondial. De plus, le droit international mentionne le fait que la peine de mort est strictement interdite en temps de paix comme en temps de conflits. De plus, certains pays sanctionnent des crimes qui n’en sont pas comme l’homosexualité. Par ailleurs, la voix d’un combat commun raisonne par le biais d’Amnesty International. Cette organisation se bat contre la peine de mort. La peine capitale s’inscrit dans une culture marquée par la violence, sans apporter de remède à ce fléau. La peine de mort ne dissuade pas La peine de mort n’est pas une sanction dissuasive pour les criminelles. En effet, certains représentants de gouvernement international encouragent cette pratique en mentionnant qu’elle permet un contrôle de la criminalité. Néanmoins, il est important de noter que les criminels qui ont des problèmes mentaux ou encore qui aiment faire du mal ne sont pas dissuadés par ces sanctions. Un taux de criminalité inchangé Il a été prouvé que la peine de mort est une sanction inefficace. En effet, les pays qui ont aboli la peine de mort ne recensent aucun changement au niveau du taux de criminalité. A contrario, cette pratique reflète un modèle gouvernemental qui encourage la erreurs de justice La justice est un système qui permet, au sein de la société, de punir les actes répréhensibles par la loi. En effet, même si celle-ci se prône fiable et impartiale, ce n’est pas toujours le cas. En effet, l’histoire a prouvé que la justice a déjà commis des erreurs. Par ailleurs, la peine de mort ne permet aucun retour en arrière, car si une personne est exécutée il est impossible par la suite de réparer cette erreur. Par exemple, Georges Stinney, jeune garçon de 14 ans a été exécuté pour deux meurtres qu’il n’a pas commis. 70 ans après son exécution, il a été innocenté, mais il était trop tard pour faire machine arrière. L’efficacité des prisons Les prisons sont efficaces et permettent donc de supprimer la sanction de la peine de mort. En effet, ce sont des lieux qui permettent de tenir à l’écart les criminels les plus dangereux pour la société. Quel est votre avis sur ce débat ? Pour ou contre la peine de mort en 2022 ?